Sunday, March 8, 2009

La MODE

Freida Pinto, l’actrice Indienne de Slumdog Millionaire s’est faite habiller par le même couturier qui a été choisit par la gagnante de l’oscar, Kate Winslet, cette année. En tant qu’une indienne, cette jeune aspirante n’hésite point à adopter le style des étrangers pour s’assimiler aux Oscars. Pourrait l’on vraiment s’identifier avec une apparence externe?

Les discussions pour ou contre comment la mode se manifeste dans notre vie ne manquent pas. Certains constatent que la mode est une partie intégrale de leurs quotidiens. Ils s’expriment avidement avec les tenues de leur choix. Ils prennent beaucoup d’efforts en vue d’élire leurs marques. D’autres, en revanche avancent que cet accaparement ne fournit guère aucun bénéfice. En outre, cela cause la dissemblance dans leur cercle social et dans leur vie professionnelle.

Personnellement, je ne suis pas en faveur de l’exploitation des sentiments provoquée par la pression de la mode. Premièrement, on suit aveuglement quelque chose qui ne nous appartient guère. De plus, dans le processus on perd notre capacité de jugement.

Par exemple, l’assistante qui travaille dans la boutique de mode dans le film Devil Wears Prada, est une fille très intelligente qui a la confiance en elle. Mais au gré, elle se perd pour avoir de succès, influencée par la mode autour d’elle. Par ailleurs, la discrimination causée par ne pas avoir la marque de chaussure chez le banlieusard et le citadin n’est pas le meilleur avantage de la mode.

Pour ma part, je pense que la mode est d’abord de s’identifier et ensuite de se réjouir étant confortables avec son apparence. Ne serait-il pas idéal de trouver une harmonie entre soi même et l’extériorité ?
gle

Monday, March 2, 2009

LES OGM

Depuis quelques années, « la technologie » a touché, quasiment tous les domaines concernant notre vie. Une des preuves est l’accroissement de la population. Donc pour remplir les besoins alimentaires, l’utilisation des OGM est introduite. Pourrait-on vraiment changer la situation agricole en étant dépanadant de la voie génétique?

Grâce aux outils et à de nouvelles méthodes, le pourcentage de la production alimentaire est accru. Certains disent que les OGM nourrissent bien. De plus, pour les pays émergeants où le grand problème reste la faim, il serait convenable d’utiliser les produits OGM. En revanche, l’usage des OGM est quasiment devenu un monopole et cela pose problèmes aux fermiers pauvres. Ils n’ont pas l’accès aux semences et à la technologie moderne qui sont coûteuses. De plus, certaines statistiques montrent que les OGM peuvent être dangereux pour la santé.

Personnellement, je ne suis pas contre l’usage des OGM. Cela génère plusieurs options pour rénover la situation chez des éleveurs. Par ailleurs, la production est rapide et le produit est plus résistant aux maladies et à la bactérie.
Par exemple, la Révolution Verte en Inde dans les années 70, a amélioré la condition agronome pour les indiens. De même, avec la technologie, la consommation de mangues hybrides Alfonso est facilement accessible à tout le monde en Inde.

Je suis en faveur de l’attribution des OGM dans notre vie. En outre, étant donné que l’homme est le plus intelligent de toutes les espèces, peut-il trouver un moyen pour équilibrer entre les anciennes méthodes et la nouvelle technologie ?

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Le châtiment corporel

En Inde on dit que « l’enseignant est plus important que le dieu » car il dédie sa vie à l’épanouissement intellectuel des élèves. Néanmoins les rôles et les comportements d’enseignants ont changé avec le temps. D’une part, quelques professeurs adoptent une attitude amicale envers leurs étudiants alors que d’autres préfèrent le châtiment corporel. On se demande alors quel moyen serait le plus efficace. Pourrait-on vraiment améliorer la performance des élèves en appliquant la punition physique ?

Certains disent que pour discipliner les enfants turbulents qui dépassent très vite leur limite ou pour recadrer un garnement, il est acceptable de parler avec une voix grave ou taper avec une férule. En revanche, il y a d’autres professeurs qui pensent que punir les étudiants ne mène nulle part. Ils préfèrent utiliser des moyens plus pratiques pour comprendre les vrais problèmes des élèves.
Personnellement, je ne suis pas en faveur du châtiment corporel quelque soit la raison. Pour expliquer, j’aimerais bien souligner que l’enfant est la promesse de l’avenir et doit être construit avec beaucoup d’amour et de valeurs. Par ailleurs, ces premières années scolaires sont primordiales pour la construction de l’enfant. De plus, les mauvaises expériences peuvent bouleverser toute sa vie.
Par exemple, il y a un mois (à Mumbai) un étudiant de 11 ans a été battu par son professeur de sorte qu’il est devenu handicapé et ne peut plus faire de dessins qui étaient sa seule passion.

N’était-il pas, lui-même, un étudiant, le professeur d’aujourd’hui ? En effrayant on ne peut pas produire les meilleurs résultats. En outre, il faut inventer les nouvelles méthodes éducatives pour dévoiler les qualités des élèves.

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Le travail et les sentiments

Lundi, le 16 février 10.30, vous êtes pressée pour envoyer le dossier au patron mais la « sangsue » à côté de vous ne s’arrête pas de raconter sa triste histoire de la Saint Valentin et de gaspiller votre temps. Avec un faux sourire vous y pensez : « Faut-il limiter les sentiments personnels au bureau ? »

On passe des heures actives de la journée avec les collègues qui sont aussi dans la même cadence mentale que nous. Certains constatent que malgré l’atmosphère concurrentielle et stressante au travail, un petit geste de sourire ou un regard rassurant nous réjouissent et nous égaient. D’abord, cette aisance et la complicité avec ‘le nouvel ami’ collègue, nous semblent indispensables. Pourtant, petit à petit, cette relation se tient pour acquis et le blocage est déjà créé dans notre cerveau. On risque d’être dépendant et d’être piloté par ce nouveau guide. Par ailleurs, les autres nous évalueront toujours en faisant référence à ce comportement non-professionnel.
Personnellement, je ne suis pas en faveur de cette réclamation d’affection au bureau. Tout d’abord, il faut comprendre que le bureau n’est pas la maison et les collègues ne sont pas les amis. Ensuite, la grande tâche est d’accomplir le travail avec la fluidité tout en étant productif et serviable. Il ne faut pas que l’on oublie que le travail non seulement remplit notre besoin quotidien mais aussi nous entraîne et enrichit la vie.

En considérant tous ces arguments, je crois qu’il faut certainement comprendre la valeur des « rapports » au bureau. Donc il faut inventer les nouvelles méthodes pour maintenir les relations saines et amicales. Ceci pour créer une ambiance de convivialité.

(275 mots)